À quoi ressemblera notre monde de l’autre côté de ces conflits ?
Allons-nous refuser au Hamas la capacité de commettre un mal pur et sans mélange ? Israéliens et Palestiniens vivront-ils un jour côte à côte en paix, avec deux États pour deux peuples ?
Allons-nous tenir Vladimir Poutine pour responsable de son agression, afin que le peuple ukrainien puisse vivre librement et que l’Europe reste un point d’ancrage pour la paix et la sécurité mondiales ?
Et la question primordiale : poursuivrons-nous sans relâche notre vision positive de l’avenir, ou allons-nous permettre à ceux qui ne partagent pas nos valeurs d’entraîner le monde vers un endroit plus dangereux et plus divisé ?
Poutine et le Hamas se battent pour rayer de la carte une démocratie voisine. Et Poutine comme le Hamas espèrent détruire la stabilité et l’intégration régionales plus larges et tirer profit du désordre qui en résultera. L’Amérique ne peut pas et ne permettra pas que cela se produise. Pour nos propres intérêts de sécurité nationale – et pour le bien du monde entier.
Les États-Unis sont la nation essentielle. Nous rassemblons nos alliés et nos partenaires pour tenir tête aux agresseurs et progresser vers un avenir meilleur et plus pacifique. Le monde compte sur nous pour résoudre les problèmes de notre époque. C’est le devoir du leadership, et l’Amérique dirigera. Car si nous nous éloignons des défis d’aujourd’hui, le risque de conflit pourrait se propager, et les coûts pour y répondre ne feraient qu’augmenter. Nous ne permettrons pas que cela se produise.